FRANCE
Jean François Glabik sculpte depuis toujours lui semble-t-il. Du matin au soir. « L’histoire apprend que l’homme était devenu intelligent à l’âge du fer », raconte l’artiste. « J’ai décidé de sculpter dès que j’ai apprivoisé ce métal. Je me suis mis à conjuguer les verbes déformer, tordre, distordre, tirebouchonner, torsader, tortiller, entrelacer... et le mystère de la création a fini par figer à jamais ces créatures filiformes. J’erre dans le labyrinthe onirique de la nature humaine trafiquant les formes et oeuvrant les vides ».