Cet autodidacte devenu art-thérapeute a découvert les vertus exorcistes de l’art à lui tout seul, depuis son plus jeune âge, en permettant au papier d’absorber, avec chaque coup de crayon, chaque hachure coléreuse, et chaque égratignure tous les cauchemars, toutes les fantaisies noires, les pulsions de mort et de sexe, les terrifiantes histoires de guerre et de résistance, entendues en famille et enfouies dans les régions sombres de la psychè.